Alors que j’écrivais pour moi, pour ne rien oublié de ces courts instants que j’ai partagé avec ma fille, j’ai commencé à écrire pour l’Autre en général. Pour les « paranges » qui se sentent désemparé face au drame. Pour l’entourage des parents en deuil de leur enfants : et malheureusement, nous connaissons tous une personne qui a perdu un bébé in utero ou dans son jeune age.
Aussi, je souhaite que les professionnels de santé soit interpellé par mes écrits. Ils sont concernés de prêt. En effet, ils sont ceux qui nous annonce le pire, mais aussi ceux qui doivent être le plus bienveillant et entourant possible.
Au final, mon livre s’adresse à tout une société, adulte, à même d’entendre une réalité qu’on veux caché : toutes les grossesse ne se termine pas par un événement heureux. Puis, comment la société nous voit-elle puisque aucun mot ne nous défini ? Je veux que les choses change : je veux avoir un statut.